par sandrine | Juin 11, 2025 | Non classé
Depuis des siècles, l’homme écrit et parle, c’est de la communication, et le plus utilisé est la parole, cette façon de communiquer avec nos congénères consiste à utiliser nos cordes vocales pour créer un son qui formera des mots, puis des phrases (interrogatives exclamatives ou impératives) “Tu as faim ? ” “ Va ranger tes affaires” “Je vais faire les courses”. Et nous communiquons ainsi depuis près de 300 000 ans.
Mais pour les chats, c’est une autre histoire, ils communiquent d’une tout autre façon. Comment tentent ils de communiquer avec nous ? Et comment communiquent vos petites boules de poil entre eux ? Eh bien, vous avez de la chance, car aujourd’hui, moi Florie, je vous refais un article pour vous expliquer la communication de vos félins préférés.
Les chats communiquent avec des phéromones et rarement avec la voix, étonnant non ?
Alors pourquoi miaule-t-il ? Vos chats ont remarqué que nous utilisions principalement notre voix pour communiquer, alors les félins domestiques se sont adaptés à l’espèce humaine. En miaulant, ils essayent de vous faire comprendre se qu’ils veulent (manger, jouer, sortir, et bien d’autre…).
Ils peuvent aussi miauler entre congénères, mais c’est peu commun.
Quand un petit s’éloigne de sa mère, il va ronronner ou miauler pour que maman retrouve son bébé.
Et une fois adulte, les chats peuvent miauler entre eux quand ils ne s’entendent pas ou quand ils veulent montrer qui est le patron. Dans ce cas, ils procèdent d’abord à plusieurs feulements menaçants et de mise en garde puis ils se sautent dessus si personne ne se laisse impressionner. Mais les chats communiquent non pas principalement par la voix, mais pas des odeurs qu’ils créent, appelés phéromones…
Les phéromones des chats
Les phéromones sont des substances chimiques naturelles sécrétées par les chats qui sont propres à son espèce. Grâce à des glandes situées dans leur peau et dans les muqueuses. Ces substances sont sécrétées au niveau de la tête, sur les côtés des pattes, dans la région de l’anus et de la poitrine.

(Montage : vetopsy.fr)
Types de phéromones
Les chats produisent les phéromones au niveau de la voie urinaire pour marquer son territoire ou alors des phéromones d’alarme quand ils sont stressés.
Les phéromones peuvent contribuer au bien-être du chat, il réduit l’anxiété et en évitant les accidents fâcheux. Lorsque qu’un chat étrangé au vôtre détecte les phéromones que votre compagnon a placé, il adopte un drôle de comportement appelé « Flehmen » ce qui consiste à ouvrir la gueule et reste immobile. On appelle ça, humer.

ragma.elevage.ragdoll
Lors d’une situation d’anxiété, votre félin peut ne pas produire assez de phéromones pour le calmer, dans ce cas-ci, il marque son territoire, il griffe un peu partout et peut parfois être agressif envers d’autres chats qu’il peut croiser.
Depuis 1995, il existe des phéromones artificielles pour contrer le stresse de votre chat et bien plus.
Il existe 4 types de phéromones
La plus connue est la f3, les phéromones faciales félines sont des phéromones réconfortantes et apaisantes qui aident les chats à se sentir en sécurité et heureux, ce qui est pratique si votre petit chat urine partout sauf où il est autorisé.
Il existe également une phéromone crée spécialement par les mères pour leur petit, la phéromone « harmonie » est utilisée pour aider la mère et les chatons à créer des liens.
Pour terminer, la f4, est l’acceptation et la familiarisation, elle consiste à apaiser les conflits lorsqu’un nouvel humain ou animal arrive.
Une autre phéromone appelée « phéromones sexuelles » permettent d’indiquer aux matous que madame est en chaleur et voudrait bien des chatons. Les chattes appellent les mâles avec les phéromones sexuelles qu’elles sécrètent au début de leur chaleur. Elle l’accompagne par un miaulement fort et grave et de quoi se faire disputer par vos voisins.
Pour conclure, les phéromones sont très importantes dans la vie des chats, même s’ils utilisent la voix ou les yeux, les phéromones sont les plus utilisées,
J’espère que ce nouvel article vous a bien aidé avec votre petit compagnon à quatre pattes, merci d’avoir lu.
Sur ce, je vous souhaite un très bon été et à bientôt
Florie Boulon
par sandrine | Mai 12, 2025 | Non classé
7 plantes à cultiver pour le bien-être des chats

Offrir des plantes adaptées à votre chat, c’est lui
permettre de se divertir tout en profitant de leurs
bienfaits naturels. Voici quelques incontournables :
L’herbe à chat – Non toxique et facile à faire
pousser, elle stimule les chats avec une joyeuse
frénésie.
Valériane – Un puissant stimulant naturel qui
déclenche une réaction similaire à l’herbe à chat.
Graminées de blé, d’avoine et d’orge – Favorisent
la digestion et aident à réduire les boules de poils.
Menthe – Les chats aiment la renifler et s’y frotter,
mais la menthe poivrée est à consommer avec
modération.
Thym pour chat – Alternative intéressante pour
ceux qui ne réagissent pas à l’herbe à chat.
Racine de réglisse – Appréciée pour son goût, elle
possède aussi des vertus anti-inflammatoires.
Citronnelle – Un stimulant doux qui offre les
mêmes bienfaits que d’autres graminées.
Des plantes qui éveillent les sens et contribuent à la
santé de votre compagnon à quatre pattes !
par ip | Fév 21, 2025 | Non classé
Ne nous mentons pas on aime tous que notre chat ronronne près de nous.
Eh bien, sachez que la source du ronronnement est encore inconnue, nous ne savons pas le fonctionnement du ronronnement du chat, étonnant non ? Mais pourquoi un chat ronronne alors ?
Tout commence à la naissance du chaton, lorsque leur mère met bas, elle ronronne pour rassurer les nouveaux nés, et les chatons peuvent ronronner à partir de leur deuxième semaine de vie, c’est alors que les chatons communiquent avec leur mère en ronronnant. Les chatons peuvent aussi ronronner pour indiquer leur position à leur mère. Une fois adulte, votre chat ronronne toujours, et pas qu’un peu, car il peut aller jusqu’à 125 vibrations par secondes. En général, c’est qu’il ronronne de plaisir, d’amour et de reconnaissance à votre égard. Quand vous le caresser, votre chat tente de vous communiquer le fait que votre geste le rend heureux et augmente la confiance qu’il a envers vous. Votre félin peut aussi ronronner parce qu’il a envie de quelque chose comme de manger, de boire ou tout simplement d’une caresse. Ce ronronnement peut être différencié des autres, car les vibrations sont régulières. Votre boule de poil peut ronronner pour montrer qu’il n’est pas un danger envers vous ou ces congénères. Il peut le faire, quand vous le fixer droit dans les yeux, car quand vous faites cela votre chat peut se dire que vous le penser dangereux. Alors, il va chercher à vous prouver le contraire en ronronnant et il a bien raison car on a tout de suite envie de le couvrir de bisous et de caresses.
Néanmoins, le ronronnement n’est pas toujours le signe de bien-être, mais peut aussi être le résultat de son mal-être. Si votre chat ronronne bruyamment, c’est peut-être qu’il a mal quelque part ou qu’il n’est pas au meilleur de sa forme ou peut-être même en fin de vie. Le ronronnement de votre chat peut aussi être bénéfique pour vous et votre famille, le ronronnement a effectivement un effet relaxant et anti-stress pour l’homme en baissant même le risque de crise cardiaque de ses maîtres, mais ce n’est pas tout, des études montrent que les vibrations régulières du ronronnement de votre félin ont un effet réparateur sur vos os, les fractures osseuses guérissent donc plus vite si votre chat ronronne près de vous. Le ronronnement réduit les risques d’allergie chez les jeunes enfants. Une autre étude vise à démontrer que les enfants vivant avec un ou plusieurs chats ont moins de chances de développer des allergies à l’avenir. Cependant, cela ne modifie pas les gènes de l’enfant, si votre famille présente des allergies, cette tendance pourrait toujours se manifester même avec l’effet bénéfique du ronronnement de votre chat.
Pour conclure, le ronronnement d’un chat n’est pas sans intérêt et peut avoir un impact positif sur votre famille. Il peut également en dire beaucoup sur l’humeur de votre félin ou sur ce qu’il souhaite.
Article rédigé par Florie Boulon : Droit réservé Florie B et Pierre D’or Bengal
par sandrine | Oct 24, 2024 | Non classé
Les transporteurs de médicaments influencent considérablement la pharmacocinétique et la pharmacodynamique des médicaments. La glycoprotéine P (P-gp), produit du gène MDR1 (ABCB1), est l’un des transporteurs de médicaments les mieux caractérisés, en particulier en médecine vétérinaire. Un certain nombre de médicaments cliniquement pertinents, structurellement et fonctionnellement non apparentés, sont des substrats de la P-gp. La P-gp est exprimée dans divers tissus normaux, notamment les intestins, les cellules tubulaires rénales, les cellules endothéliales des capillaires cérébraux, les cellules canaliculaires biliaires et d’autres, où elle a pour fonction d’extruder activement les médicaments substrats. À ce titre, la P-gp limite l’absorption orale et l’entrée dans le système nerveux central de nombreux médicaments substrats. Un certain nombre de polymorphismes MDR1 ont été décrits chez des patients humains, dont certains entraînent une modification de la pharmacocinétique des médicaments et une susceptibilité à des maladies telles que la maladie de Parkinson, les maladies inflammatoires de l’intestin, les crises d’épilepsie réfractaires, etc. Il a été démontré qu’un polymorphisme MDR1 chez les chiens de troupeaux, y compris les collies et les bergers australiens, était à l’origine de la sensibilité à l’ivermectine chez ces races. Des données récentes suggèrent que ce polymorphisme, une mutation de délétion de 4 pb, entraîne une sensibilité accrue à la toxicité de plusieurs médicaments en plus de l’ivermectine. En outre, des données sur des modèles de rongeurs suggèrent que la P-gp pourrait jouer un rôle important dans la régulation de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien. Une sous-population de chiens collie est extrêmement sensible à la neurotoxicité induite par l’ivermectine. L’objectif de cette étude était de déterminer la base mécaniste de ce phénomène. Le gène de la multirésistance aux médicaments (mdr1) code pour une grande protéine transmembranaire, la P-glycoprotéine (P-gp), qui fait partie intégrante de la barrière hémato-encéphalique. La P-gp fonctionne comme une pompe de transport de médicaments au niveau de la barrière hémato[1]encéphalique, transportant une variété de médicaments du cerveau vers le sang. L’ivermectine étant un substrat de la P-gp, nous avons émis l’hypothèse que les collies sensibles à l’ivermectine présentaient une expression modifiée de mdr1 par rapport aux collies non affectés. Nous rapportons une mutation par délétion du gène mdr1 qui est associée à la sensibilité à l’ivermectine. La délétion de 4 pb entraîne un décalage de cadre, générant plusieurs codons stop qui mettent fin prématurément à la synthèse de la P-gp. Les chiens homozygotes pour la mutation de délétion présentent un phénotype sensible à l’ivermectine, tandis que les chiens homozygotes normaux ou hétérozygotes ne présentent pas de sensibilité accrue à l’ivermectine. La glycoprotéine P (P-gp), codée par le gène ABCB1 (MDR1), a un impact considérable sur l’élimination des médicaments. La P-gp est exprimée dans les intestins, les canalicules biliaires, les tubules rénaux et les capillaires cérébraux, où elle assure l’efflux des substrats médicamenteux. À ce titre, la P-gp limite l’absorption orale, améliore l’excrétion biliaire et rénale et inhibe l’entrée des médicaments substrats dans le système nerveux central. De nombreux médicaments couramment utilisés en médecine vétérinaire sont des substrats connus de la P-gp canine (vincristine, lopéramide, ivermectine, etc.). Comme ces médicaments ont un index thérapeutique étroit, un dysfonctionnement de la P-gp peut entraîner des réactions indésirables graves en raison d’une pénétration accrue dans le cerveau et/ou d’une diminution de la clairance. Le dysfonctionnement de la P-gp chez les chiens peut être intrinsèque (chiens hébergeant ABCB1-1Δ) ou acquis (interactions médicamenteuses entre un inhibiteur de la P-gp et un substrat de la P-gp). Les nouveaux médicaments candidats pour l’homme doivent faire l’objet d’une évaluation des interactions P-gp conformément aux réglementations de la FDA et de l’EMA afin d’éviter les réactions indésirables et les interactions médicamenteuses. Des informations similaires concernant la P-gp canine pourraient permettre d’éviter les effets indésirables des médicaments chez les chiens. Les différences entre les substrats de la P-gp ayant été documentées entre les espèces, il ne faut pas présumer que les substrats de la P-gp humaine ou murine sont nécessairement des substrats de la P-gp canine. Notre objectif était donc de développer une lignée cellulaire permettant d’évaluer les médicaments en tant que substrats de la P-gp canine. Les interactions médicamenteuses peuvent être à l’origine d’une morbidité et d’une mortalité imprévues chez les patients. Les conséquences des interactions médicamenteuses peuvent être particulièrement graves lorsqu’il s’agit de médicaments anticancéreux en raison de leur index thérapeutique étroit. Les cliniciens vétérinaires ont traditionnellement appris que les interactions médicamenteuses résultaient d’altérations du métabolisme, de l’excrétion rénale ou de la liaison aux protéines. Plus récemment, des interactions médicamenteuses résultant de l’inhibition du transport de médicaments médié par la glycoprotéine P ont été identifiées chez les patients humains et vétérinaires. De nombreux médicaments couramment utilisés chez les patients vétérinaires sont capables d’inhiber la fonction de la glycoprotéine P et de provoquer ainsi une interaction qui entraîne une toxicité grave des médicaments chimio thérapeutiques. L’objectif de cette revue est de décrire le mécanisme et les implications cliniques des interactions médicamenteuses impliquant la P-glycoprotéine et les médicaments anticancéreux. Forts de ces informations, les vétérinaires peuvent prévenir les interactions médicamenteuses graves en choisissant d’autres médicaments ou en ajustant la dose des médicaments qui interagissent. Contexte : Les chiens porteurs du polymorphisme ABCB1-1Delta naturel sont plus sensibles à la toxicose neurologique induite par l’avermectine en raison d’une fonction déficiente de la P[1]glycoprotéine. La question de savoir si le polymorphisme ABCB1-1Delta affecte la sensibilité à la toxicité d’autres médicaments substrats de la glycoprotéine P n’a pas été étudiée. Hypothèse : Les chiens qui possèdent la mutation ABCB1-1Delta sont plus susceptibles de développer une toxicité hématologique associée à la vincristine que les chiens de type sauvage ABCB1. Animaux : Trente-quatre chiens diagnostiqués avec un lymphome ont été inclus dans cette étude. Méthodes : Des échantillons d’écouvillons de joues ont été prélevés sur des chiens diagnostiqués avec un lymphome et devant être traités avec de la vincristine. L’ADN a été extrait des écouvillons de joue et le génotype ABCB1 a été déterminé. Les réactions hématologiques indésirables ont été enregistrées pour chaque chien et classées selon les critères du Veterinary Comparative Oncology Group pour la notification des événements indésirables (document de consensus). Afin d’éviter tout biais possible, les résultats du génotype ABCB1 pour un patient donné n’ont pas été divulgués aux oncologues avant qu’un rapport initial sur les effets indésirables n’ait été soumis. Résultats : Les chiens hétérozygotes ou homozygotes pour la mutation ABCB1-1Delta étaient significativement plus susceptibles de développer une toxicité hématologique, spécifiquement une neutropénie (P= .0005) et une thrombocytopénie (P= .0001), après un traitement à la vincristine que les chiens de type sauvage ABCB1. Conclusions et implications cliniques : Aux doses actuellement recommandées (0,5-0,7 mg/M(2)), la vincristine est susceptible de provoquer une toxicité hématologique chez les chiens présentant la mutation ABCB1-1Delta, ce qui entraîne des retards de traitement et une morbidité et une mortalité inacceptables. L’évaluation du génotype ABCB1-1Delta avant l’administration de la vincristine et la diminution de la dose peuvent prévenir la toxicité et les retards de traitement résultant d’une neutropénie ou d’une thrombocytopénie.

article écrit par Martine Caillar
https://www.cerclefelindubengal.fr/
par sandrine | Oct 22, 2024 | Non classé
Le Bengal a un pelage évolutif. Puisqu’il est descendant du léopard, certaines caractéristiques de son ancêtre lui sont transmises.
Le jeune chaton a un pelage que l’on appelle “fuzzy”. Cette période est temporaire et s’effacera tout doucement entre l’âge de 6 mois à 1 an environ . Ce “fuzzy », est en fait lié à la période essentielle de camouflage chez les jeunes léopards. Cela leur permet d’éviter d’être repérés par des prédateurs. La pointe des poils est plus pâle et brouille la couleur du chaton tout en lui donnant une allure ébouriffée. Un éleveur expérimenté, peut cependant savoir exactement comment évoluera son chaton et bien guider ses adoptants. Il faut compter 2 ans pour avoir le pelage définitif. Le pelage d’hiver et d’été varie légèrement.
Alors que le Bengal évolue, son “fuzzy” disparait doucement pour laisser place à son lustre d’adulte communément appelé “glitter”. Ce lustre doit être le plus prononcé possible et lorsque le Bengal fait la sieste au soleil, la lumière doit réverbérer sur le dos de celui-ci. Nous avons remarqués que plus le Bengal est lustré, moins il semble perdre de poils. Il est d’ailleurs important de mentionner que le lustre du pelage apporte quelques points supplémentaires lors compétitions félines . Nos reproducteurs sont sélectionnés pour cet aspect de leur pelage. Le glitter du bengal brown brille « or » et le bengal silver brille « argent ».
Le Glitter chez le Bengal
Alors que le Bengal évolue, son “fuzzy” disparait doucement pour laisser place à son lustre d’adulte communément appelé “Glitter”. Glitter ou Golden Glitter chez les Brown, que porte la robe de certains Bengals est considéré comme unique dans le monde félin.Ce lustre doit être le plus prononcé possible et lorsque le Bengal fait la sieste au soleil, la lumière doit réverbérer sur le dos de celui-ci.
Cette caractéristique est héritée de certaines lignées de Chat Léopard d’Asie chez qui il est exprimé à son paroxysme, puisqu’il présente chez lui une couleur cuivrée, presque rouge.
Les Bengals qui sont dotés de cette particularité présentent un reflet de la fourrure qui la fait scintiller comme si elle était parsemée de poussière d’or pour les Brown, ou de cristal pour les Silver et les Snow, certains éleveurs parlent également pour ces dernières couleurs d’un effet nacré comme une perle fine.Il y aurait un effet d’augmentation du glitter grâce à l’accumulation de polygènes, c’est-à-dire que plus un chaton a, dans son pedigree, de parents porteurs de glitter, plus son glitter sera intense.
ses écailles semblent plus pointues et orientées selon une disposition longitudinale harmonieuse. Cette disposition organisée et cette forme particulière des écailles de kératine offrent de nombreuses surfaces de réfraction à la lumière, à la façon d’un diamant taillé.
De plus, il apparaît que les chats porteurs de Glitter présentent, par ailleurs, une texture de robe extrêmement fine et soyeuse, ce qui est une caractéristique recherchée chez le Bengal.
Nous avons remarqués que plus le Bengal est lustré, moins il semble perdre de poils. Il est d’ailleurs important de mentionner que le lustre du pelage apporte quelques points supplémentaires lors compétitions félines . Nos reproducteurs sont sélectionnés pour cet aspect de leur pelage. Le glitter du bengal brown brille « or » et le bengal silver brille « argent ».
Nos familles viennent de toute la France : Auvergne Rhône-Alpes, Bourgogne Franche-Comté, Bretagne, Centre Val de Loire, Corse, Grand Est, Hauts-de-France, Île-de-France, Normandie, Nouvelle Aquitaine, Occitanie, Pays de la Loire, Provence-Alpes-Côte d’Azur mais aussi des pays alentours : Luxembourg, Suisse, Espagne, Italie, Belgique, Norvège, Angleterre, Réunion etc…
par sandrine | Oct 22, 2024 | Non classé
Un Bengal heureux c’est un Bengal que l’on comprend. Il faut lui assurer une stimulation quotidienne au travers de la nourriture, du jeu, des interactions avec vous. Rien de compliqué et pour cela nous vous donnons quelques clés.
ILes félins disposent de nombreuses ressources riches, notamment un habitat, des structures d’enclos, un enrichissement sensoriel, de la nourriture et des jeux. Chez Bengal Wildcats, nous veillons à toujours offrir un environnement et un comportement enrichis à nos chats Bengal et à vos futurs chatons.
Ils peuvent ainsi grimper, marcher, courir et explorer différentes odeurs et différentes surfaces. Il y a un petit bassin à l’intérieur de l’enceinte pour leur permettre de se rafraîchir en se baignant. Nous distribuons des articles d’enrichissement non alimentaires et des jeux pour encourager nos chats Bengal et vos futurs chatons à les toucher, à jouer avec eux et à découvrir des odeurs passionnantes. Ils sont là pour les occuper. Par exemple, nous préparons une variété de balles et de jouets trempés dans leurs herbes préférées. Nous créons des couvertures, des tapis à creuser, des griffoirs, des arbres à chat, des étagères, des paniers et bien plus encore pour inspirer l’instinct de chasse de votre tigre du Bengale. L’enrichissement consiste aussi à changer régulièrement l’endroit où se trouve la nourriture des animaux.
Nous nous réjouissons non seulement de regarder nos Bengals jouer avec l’enrichissement mis à leur disposition, mais il s’agit là d’un aspect essentiel pour leurs permettre d’exercer leurs comportements naturels. Seulement de cette manière l’état de santé et la santé mentale de nos Bengals et de votre chaton peuvent être optimal. C’est ainsi que nous assurons le bien-être de nos protégés.
Les enrichissements donnent aux animaux une occupation mentale et physique, d’une manière saine et sûre qui les encourage à se comporter comme les félins qu’ils sont.
les enrichissements environnementaux
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L’enrichissement social : l’interaction avec des congénères
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Les structures adaptées à leurs besoins – l’opportunité de se cacher, grimper, courir, se mettre à l’ombre ou au soleil, de se baigner
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Des structures fixes
Les enrichissements comportementaux
- Enrichissements sensorielles (olfactifs, visuels, auditifs)
- Des jeux, de l’enrichissement non alimentaire
- Enrichissements alimentaires divers et changeants.
Le Bengal est un chat qui a un grand besoin de stimulation. S’il est le seul animal de la maison ou non, il aura besoin d’etre stimulé. Faites un roulement dans ses jouets, afin qu’il ne se lasse pas trop vite. Pensez à des jouets variés (balles, plumeaux, peluches, baton de matabi, tapis de fouilles, jouets avec différentes herbes, etc).
Votre chat Bengal est un fin gourmet. En plus de ses rations quotidiennes, stimulez ses sens avec de l’humidite comme de la pâté, de la terrine et des viandes comme le poulet, le bœuf, le lapin, les crevettes et le poisson. Vous pouvez le servir sous différentes formes : en soupe, en proie comme les poulets, en morceaux, hachés, etc. Vous pouvez leur donner à manger cru, cuit ou congelé. Pour cela, utilisez ses bols habituels, mais aussi des bols interactifs, des tapis à lécher, etc.
Vous pouvez leur faire découvrir la pâtée « smell » de Royal canin
Interaction avec son Bengal
Le Bengal adore interagir avec ses parents humains. Il faut apprendre à jouer avec lui quand le moment se présente mais aussi mettre un terme au jeu quand votre chat vous l’indique. Apprendre à repérer les signaux (la queue qui chasse, les pupilles qui se dilatent, le grognement, etc). Nous vous aiderons à comprendre votre Bengal.